Quel ciment choisir pour ses travaux de maçonnerie ?

Le ciment est un élément essentiel pour la solidification lors d’une construction. C’est un matériel qu’il faut principalement choisir en fonctions de l’utilisation à en faire. Nous vous donnerons les détails à considérer pour le choix.

Savoir les différents types disponibles

Sur le marché, vous trouverez plusieurs sortes de ciments réservés à des usages bien précis. Nous avons les ciments :
- Gris : assez solide, il est sollicité à plusieurs fins de maçonnerie, mais surtout pour la formation des bétons.
- Blanc : il est composé en grande partie d’argile blanche et dispose des mêmes propriétés que le précédent. Il convient mieux à la décoration.
- Prompt : il réagit très rapidement. On y fait généralement recours pour le bricolage et des reprises de travaux.
- Réfractaire : il est fabriqué pour tenir face à des températures extrêmes.
- Bas carbone : bien résistant et à approche écologique, il limite la diffusion du CO2.
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L’identification à l’emballage

La couverture d’un ciment renseigne sur la catégorie, la résistance et le dosage requis à son emploi. Chacune d’elle porte une inscription CEM.
- Le CME I pour l’élaboration des bétons armés ou en état de compression ;
- Le CME II pour les utilisations habituelles en maçonnerie ;
- Le CME III pour des structures denses et profondes ;
- Le CME IV pour toutes catégories de bétons et construction éprouvé à l’eau ;
- Le CME V pour la formation d’ouvrage non émetteur de CO2.

Prêter attention à la conservation

Le ciment est soumis à une période de validité malgré qu’il ne puisse pas se gâter. Généralement, lorsqu’il est préservé dans le respect des conditions d’humidité, on tient compte d’un délai de 6 mois. Car leur résistance est susceptible d’être perdue après un temps. Dans le cas où cela se produirait, il y en a qui peuvent être restauré par tamisage, d’autres parts recyclage.